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Par Jack ibm le 13 Février 2014 à 23:43
Humaniste, il aime porter son regard sur la société, les gens simples, Raymond Depardon affectionne de photographier leur habitat, et leur vie de tous les jours...
Une belle exposition lui était consacrée au Grand Palais à Paris, visite princière... Quelques extraits...
Supt, Jura, 2006
Mais en fin observateur qu'il est, il aime également mettre en exergue des personnages...
l'insolite... ou le banal, a priori, des clichés au format carré, de jolie composition, jouant sur les couleurs, les lignes, les ombres...
Il a beaucoup bourlingué et continue,
en Amérique du sud,
en Afrique
Il a tiré le portrait de grandes stars de l'époque,
Edith Piaf
des starlettes...
Année 1960
Il s'intéresse à tout, au sport, comme ce cliché des JO d'Albertville
mais ce qui lui tient à cœur, c'est le côté social de la vie sous toutes ses facettes ; un pan de mur entier dans l'expo est dédiée à cette tranche de vie d'une jeune femme et ses quatre chiens,
il est resté longuement à la photographier,
sans jamais pouvoir lui parler...
L'expo a pris fin le 10 février, elle avait pour titre "Un moment si doux", on peut retrouver encore j'espère, sur le site du Grand Palais, l'article qui lui est dédié : "Ailleurs, ici, le goût des autres"
Photos réalisées le 6 février 2014.
Autre très grand photographe :
Robert DOISNEAU, la mémoire des Halles à Paris
« Tous ces voyages à l’étranger m’ont aidé à voir mon pays ». Tchad, Algérie, Israël, Chili, Pérou, Bolivie, Brésil, Liban, Japon, Vietnam, Etats-Unis, Angleterre, Allemagne… combien d’aéroports, de passages en douane, de vols retardés, de jetlag, de taxis, d’hôtels, de notes de frais, de rencontres, de souvenirs…Un passeport comme un itinéraire, un pèlerinage, celui qui le mènera d’allers en retours sur les chemins de son pays d’origine, pour, toujours, mieux en repartir. - See more at: http://www.grandpalais.fr/fr/article/ailleurs-ici-le-gout-des-autres#sthash.JH2gwwJ6.dpufAilleurs, ici, le goût des autres
Éternel voyageur, Raymond Depardon est d’abord parti loin, pour revenir là où tout avait commencé, chez lui, en France. Une errance empreinte d’un même regard sur l’autre, quasi anthropologique.« Tous ces voyages à l’étranger m’ont aidé à voir mon pays ». Tchad, Algérie, Israël, Chili, Pérou, Bolivie, Brésil, Liban, Japon, Vietnam, Etats-Unis, Angleterre, Allemagne… combien d’aéroports, de passages en douane, de vols retardés, de jetlag, de taxis, d’hôtels, de notes de frais, de rencontres, de souvenirs…Un passeport comme un itinéraire, un pèlerinage, celui qui le mènera d’allers en retours sur les chemins de son pays d’origine, pour, toujours, mieux en repartir.
Ailleurs, ici, le goût des autres
Éternel voyageur, Raymond Depardon est d’abord parti loin, pour revenir là où tout avait commencé, chez lui, en France. Une errance empreinte d’un même regard sur l’autre, quasi anthropologique.« Tous ces voyages à l’étranger m’ont aidé à voir mon pays ». Tchad, Algérie, Israël, Chili, Pérou, Bolivie, Brésil, Liban, Japon, Vietnam, Etats-Unis, Angleterre, Allemagne… combien d’aéroports, de passages en douane, de vols retardés, de jetlag, de taxis, d’hôtels, de notes de frais, de rencontres, de souvenirs…Un passeport comme un itinéraire, un pèlerinage, celui qui le mènera d’allers en retours sur les chemins de son pays d’origine, pour, toujours, mieux en repartir.
Ailleurs, ici, le goût des autres
Éternel voyageur, Raymond Depardon est d’abord parti loin, pour revenir là où tout avait commencé, chez lui, en France. Une errance empreinte d’un même regard sur l’autre, quasi anthropologique.« Tous ces voyages à l’étranger m’ont aidé à voir mon pays ». Tchad, Algérie, Israël, Chili, Pérou, Bolivie, Brésil, Liban, Japon, Vietnam, Etats-Unis, Angleterre, Allemagne… combien d’aéroports, de passages en douane, de vols retardés, de jetlag, de taxis, d’hôtels, de notes de frais, de rencontres, de souvenirs…Un passeport comme un itinéraire, un pèlerinage, celui qui le mènera d’allers en retours sur les chemins de son pays d’origine, pour, toujours, mieux en repartir.
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Par Jack ibm le 13 Février 2014 à 20:58
On sait l'importance que peut embarquer une image, une photo, selon la représentation personnelle que l'on s'en fait.
Ainsi, deux images posées côte à côte, deux mises en scène; préférence gauche ou droite ?
Deux femmes...
L'une, heureuse et radieuse, bras ouverts vers le monde, vers une terre qu'elle paraît sur le point d'enserrer
L'autre, travestie en chatte, en posture animale, pelage noir, comme sa congénère avec qui elle paraît faire la conversation...
Pour moi, la réponse se trouve évidemment à gauche...Image-symbole annonçant la "Journée internationale des femmes" le 8 mars 2014, aucune ambigüité, le message est fort, direct, sans fioritures
(Creil Magazine de Février-Mars 2014)
La droite est extraite d'une annonce
(Télérama Sortir du 8 janvier 2014)
à caractère publicitaire pour une exposition temporaire intitulée "Art Orienté Objet" au musée de la chasse et de la nature, à Paris, et là, franchement, j'avoue ne rien comprendre, d'où le besoin de décodeur !
C'est peut-être du 2ème degré, voire du 3ème, ou est-ce tout simplement de l'art moderne, une forme d'art qui ne me parle pas en tous cas, où je ne vois pas le "beau" mais plutôt du "dégradant", à laquelle je me sens hermétique en fait, et que je n'aime pas, et je le dis...
et c'est bien l'intérêt d'un blog, espace de liberté !
Pour qui voudrait approfondir, le site du musée est i c i .
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Par Jack ibm le 18 Janvier 2014 à 11:13
La France, même "Petite" ici à Strasbourg, est bien belle, y compris de nuit !
Un petit regard ne saurait donc nuire !
Le barrage Vauban
La Petite France,
en vrac
et en lumière !
Photos réalisées le 19 janvier 2014.
Autres jeux de lumière pas loin :
Jeux de lumière : une bande d'Enfoirés enflamme le Zénith de Strasbourg
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